Tracer les perturbateurs endocriniens dans l’eau grâce aux larves de têtards et de poissons.
Les résidus plastiques, cosmétiques, pharmaceutiques et pesticides sont susceptibles de provoquer des perturbations endocriniennes (perturbation de la métamorphose du développement par exemple). Ils peuvent également créer des perturbations hormonales, c’est-à-dire, des perturbations de la reproduction.
Les tests biologiques permettent de les détecter et les quantifier grâce à une échelle de perturbation. La particularité des tests que nous proposons est que les larves sont associées à des marqueurs fluorescents. Ainsi, cela révèle le potentiel perturbateur de l’eau. En effet, plus il y a de perturbateurs, plus la larve « s’allume ».
Ces tests permettent d’aider la décision sur l’évolution de la filière de traitement, surveiller un réseau ou identifier des zones favorables à la biodiversité. Enfin, cela permet également de rendre visible la qualité de l’eau.